Une réunion de notre association s'est tenue vendredi 29 janvier 2021 après-midi en petit comité à cause du contexte actuel, pour le lancement du chantier de réhabilitation du bouli de Poulallé.
Trois de nos co-présidents ont signé le protocole d’accord par lequel notre association et l'entreprise sélectionnée par le comité de gestion du bouli s'engagent à faire démarrer les travaux le 3 mars prochain.
Le financement de près de 20 200 € de ce projet a été définitivement réuni en décembre avec le versement d'une subvention de 2 500 € versée par le département de l'Ardèche dans le cadre de son aide à l'Afrique.
Mais cette action a fait l'objet d'un apport important de Burkin'Amitié, 12 000 € sur les réserves constituées à cet effet lors des dernières Fêtes Africaines, auquel s'ajoutent les bénéfices de deux soirées Africaines et d'une autre manifestation à Saint Montan, ainsi qu'une participation de 1000 € de l'association partenaire La Peregrina.
La commune de Saint Montan a versé une subvention de 2 200 € dans le cadre du jumelage avec le village de Poulallé, une aide qui chaque année transite par notre association pour un investissement au profit de la population.
Et bien sûr les fonds apportés lors de l'appel aux dons lancé il y a bientôt un an, auquel ont répondu de nombreux adhérents pour un total de 2 245 €.
Merci pour votre générosité !
Nous sommes tous très heureux de voir l'aboutissement de ce projet lancé lors du voyage de renouvellement du jumelage de Saint Montan et Poulallé en décembre 2016. Nous avions alors rencontré le comité de gestion du bouli qui nous avait fait visiter le bouli.
Le mot « BOULI » désigne un point bas géologique, placé sur une zone de ruissellement, qui se remplit en saison des pluies. Ces points d’eaux naturels, sont analogues aux mares que nous connaissons en France, leur capacité est plus ou moins importante.
Au fil des années la capacité du réservoir naturel diminue inexorablement faute de moyens financiers, techniques et matériels pour maintenir par surcreusement, voir augmenter la capacité de ces réservoirs naturels.